La pollution atmosphérique accélère significativement le vieillissement cutané, contribuant à 80 % de ce processus aux côtés de l'exposition solaire. Les effets observables incluent le développement de rides profondes, d'élastoses solaires et de taches pigmentaires. La pollution entrave également le renouvellement cellulaire et la régulation de l'hydratation, entraînant une peau plus sèche, un teint moins lumineux et une sensibilité accrue.
Des études, notamment sur des femmes chinoises exposées à de faibles niveaux de soleil mais présentant des lentigos séniles prématurés, mettent en évidence le rôle majeur de la pollution, en particulier des particules fines (PM2,5), dans l'apparition de ces signes de vieillissement cutané. Le vieillissement prématuré est donc largement lié à des facteurs environnementaux, la pollution étant un élément déterminant.
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