La capitale indienne, New Delhi, a été recouverte d'une épaisse couche de pollution toxique au lendemain des célébrations de Diwali, la fête hindoue des lumières. Les niveaux de pollution ont atteint plus de 23 fois le seuil maximum recommandé par l'Organisation mondiale de la santé, selon les données de la société IQAir.
Des milliers d'habitants ont allumé des feux d'artifice, y compris des pétards très polluants, dans le cadre des festivités honorant la déesse Lakshmi et symbolisant la victoire de la lumière sur les ténèbres. À l'aube, les concentrations de microparticules PM2.5, les plus dangereuses pour la santé, ont atteint des niveaux alarmants, dépassant de plus de 56 fois les limites recommandées par l'OMS dans certaines zones. Bien que les niveaux aient diminué quelques heures plus tard, ils sont restés très élevés.
La Cour suprême avait assoupli l'interdiction totale des feux d'artifice en autorisant l'utilisation de "feux d'artifice verts", censés être moins polluants, mais les restrictions précédentes avaient souvent été ignorées. New Delhi, qui compte plus de 30 millions d'habitants, figure régulièrement parmi les capitales les plus polluées du monde, un problème exacerbé en hiver par un phénomène de "couvercle" atmosphérique qui piège les polluants issus des industries, de la circulation et des brûlis agricoles.
Le gouvernement a annoncé des mesures pour tenter de réduire la pollution, notamment en assurant un approvisionneme... téléchargez l’application pour lire la suite
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