La dermatose nodulaire contagieuse continue de sévir dans les Pyrénées-Orientales, provoquant la colère de certains éleveurs face aux abattages prévus de leurs troupeaux. Trente-six vaches de Sébastien Desmarecaux et Patrick Berjoan, qui ne présentent aucun symptôme de la maladie malgré un test positif et une vaccination, sont condamnées à être abattues. Les éleveurs expriment leur incompréhension et leur colère, estimant que ces bêtes en pleine forme, et qui devaient vêler prochainement, ne présentent pas de danger, surtout qu'elles sont confinées loin des autres troupeaux. Ils déplorent également le manque de respect pour les animaux abattus, laissés sur place dans la nature, suscitant des craintes de propagation de la maladie par les vautours.
Les autorités, par la voix du sous-préfet de Prades, Didier Carponcin, justifient ces mesures par la nécessité d'appliquer la stratégie européenne de lutte contre la maladie, soulignant qu'une bête malade peut contaminer jusqu'à dix-sept autres, même si elle est porteuse saine. L'abattage de tous les animaux d'un élevage touché est présenté comme un pilier de cette stratégie, visant à endiguer une maladie "terriblement contagieuse". Les commentaires d'éleveurs dans l'article suggèrent une... téléchargez l’application pour lire la suite
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