La gauche québécoise, notamment Québec solidaire, connaît un déclin dans les sondages et les élections municipales en raison de sa focalisation excessive sur le conflit israélo-palestinien et des enjeux du Moyen-Orient, au détriment des priorités des Québécois. Cette stratégie, qualifiée de "mélenchoniste", a conduit à des positions controversées, comme le soutien à des slogans jugés anti-juifs et des accusations de racisme infondées, éloignant le parti de sa base électorale.
Cette tendance s'observe aussi à travers l'accueil de prédicateurs radicaux et la montée de discours haineux portés par certains groupes militants, qui contribuent à une augmentation de la haine anti-israélienne et anti-juive au Québec. En réponse, des lois sont mises en place pour contrer l'islamisme dans les écoles et renforcer la laïcité, reflétant une dynamique similaire à celle observée en France.
En définitive, cette "islamo-gauchisme" suscite un rejet citoyen et force les groupes qui l'attisent à une radicalité assumée, menant à une agonie dans l'opinion publique. Le maintien des valeurs québécoises de laïcité, d'égalité et de respect de la loi est présenté comme un rempart essentiel contre la haine et la violence.
